zondag 15 mei 2022

parallel 190

Toutes les théories littéraires m’ont intéressée, que ce soit celle de Jauss sur la réception, de Genette. Je n’ai jamais eu le sentiment que ce savoir enlevait quoi que ce soit à l’oeuvre, «desséchait» mon gout du texte, et j’y ai gagné, dans mon écriture, une forme de liberté, de distanciation par rapport aux discours habituels, sur ce qu’est ou n’est pas la littérature, à l’espèce de terrorisme qu’exercent certains essays comme L’Art du roman de Kundera, ou d’autres, proposant une vision dévotieuse de la littérature.

Annie Ernaux, L’Écriture comme un couteau, 83-84

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Ik had de dagboeken van Witold Gombrowicz nog niet gelezen maar heb dat sindsdien wel gedaan en hoewel ik veel romans van Milan Kundera had gelezen had ik nog niet zijn baanbrekende essays in Les testaments trahis gelezen die ik een paar jaar later met veel genoegen las en die me wellicht naar Gombrowicz hebben geleid en misschien ook naar Calvino, en zeker naar Fernando Pessoa.

Claire-Louise Bennett, Kassa 19, 84